Le Brussels Times a été choqué, tout comme nous, par l'absence de mention du bien-être animal dans le programme de travail 2026 de la Commission européenne la semaine dernière. 
 
Citation de notre responsable du plaidoyer législatif, Gabriela Kubíková, dans leur article du 23 octobre, Ils ont écrit que “Cette omission est particulièrement préoccupante étant donné l'importance cruciale de ce dossier pour le secteur de l'agriculture animale de l'UE, qui mérite clairement de figurer parmi les principales priorités de la Commission pour l'année prochaine. Après notre déception en 2023, lorsque la révision de la législation est restée lettre morte malgré des années de consultations, d'études et de collecte de preuves, il n'est pas surprenant que la confiance se soit érodée”.”
Le Brussels Times a demandé à la Commission de faire un commentaire suite à la semaine de réactions négatives de notre part et d'autres défenseurs des animaux. Selon le journaliste Mose Apelblat, “une source à la Commission a répondu [...] que le bien-être des animaux restait une priorité essentielle. “Sur la base d'une approche sectorielle, il vise à présenter des propositions législatives sur la révision de la législation communautaire existante en matière de bien-être animal.” 
“En ce qui concerne l'ICE en particulier, “La Commission évalue attentivement des aspects importants afin de garantir que la transition vers l'élevage sans cage soit durable pour le secteur agricole et pour nos systèmes alimentaires, y compris la sécurité alimentaire.”
Lorsqu'on leur demande d'élaborer sur la “éléments sur le bien-être des animaux” Dans la stratégie pour l'élevage, la Commission a renvoyé Mose au groupe de travail sur l'élevage, lancé par la commissaire Hansen en mai 2025, qui - selon la DG SANTE en septembre - comprendra un suivi de l'engagement de la Commission à supprimer progressivement l'utilisation des cages pour certaines espèces.
“Une première proposition législative est attendue d'ici la fin de l'année 2026. Une première proposition législative est attendue d'ici la fin de l'année 2026, mais le ou les secteurs couverts restent à déterminer sur la base de la consultation des parties prenantes et de ce qui est faisable pour le ou les secteurs couverts”.” lui ont-ils dit. 
Nous demandons plus de clarté sur les calendriers et les étapes concrètes pour les actions de l'année prochaine - et nous exhortons la Commission, en gardant à l'esprit la tentative de révision ratée de la dernière législature, à écouter le public et les preuves scientifiques et à enfin terminer le travail.