Un jour funeste pour les loups
Les loups gris d'Europe ne peuvent plus compter sur une protection stricte au titre de la directive "Habitats" après un vote des députés européens qui les ont rétrogradés au rang de "protégés".

Nous publions aujourd'hui une lettre commune signée par 133 organisations - dont le BEUC, l'EPHA, Birdlife, IFOAM et Freshfel - qui demande au commissaire Christophe Hansen d'adopter un plan d'action de l'UE pour une alimentation à base de végétaux d'ici 2026.
Quelles actions permettraient d'atteindre les objectifs climatiques et environnementaux de l'UE tout en améliorant la santé publique ? et réduire le nombre d'animaux élevés dans l'UE ? Existe-t-il une solution miracle ?
C'est en effet possible, sous la forme d'un plan d'action de l'UE pour les aliments d'origine végétale. Aujourd'hui, nous publions un lettre commune signée par 133 organisations, dont le BEUC, l'EPHA, Birdlife, IFOAM et Freshfel, qui demande au commissaire Christophe Hansen de faire en sorte qu'elle devienne réalité d'ici à 2026.
Les avantages d'une approche holistique de l'ensemble de la chaîne de valeur agroalimentaire, ainsi que de l'élargissement du champ des protéines à des aliments tels que les fruits, les légumes, les légumineuses et les céréales complètes, sont apparemment infinis :
Et ce n'est pas tout. Un plan d'action européen pour les aliments d'origine végétale contribuerait à améliorer la cohérence globale des politiques tout en permettant de réaliser des économies et de renforcer l'autonomie stratégique de l'UE.
Plongez dans les détails de la lettre ouverte ici et rejoignez-nous pour demander à la Commission de saisir cette occasion de faire une réelle différence pour les animaux, les hommes et la planète.
Les loups gris d'Europe ne peuvent plus compter sur une protection stricte au titre de la directive "Habitats" après un vote des députés européens qui les ont rétrogradés au rang de "protégés".
Cette législature est bien sombre pour les animaux, mais une lueur d'espoir est apparue avec la révision, attendue depuis longtemps, des règles obsolètes de l'Union européenne en matière de transport de bétail vivant. Après des années d'histoires d'horreur et d'inaction politique, il semblait enfin qu'une réforme significative était sur la table.
Une lettre commune de Four Paws et de plus de 50 autres organisations demande des amendements plus stricts au nouveau "Règlement relatif au bien-être des chiens et des chats et à leur traçabilité" de l'UE.